«The Impossible Project», nouveau test
J’ai donné une nouvelle chance aux films du projet «The Impossible Project» et il se trouve que le résultat est bien plus concluent que lors de mon premier test. Ici jaurais certainement pu mieux gérer la luminosité, mais la photo me plaît.
Pour rappel, voici donc mon appareil. C’était un cadeau de ma grand-mère pour le Noël de 1992. Il est aujourd’hui encore en parfait état. Le problème est juste de trouver des films. Et je pense que je vais continuer à tester les films de ce projet.
Au départ, j’étais plutôt sceptique à cause de la chaleur et le fait que le film soit resté dans ma boîte aux lettres en plein soleil plusieurs heures cette après-midi. Je pense qu’il doit y avoir bien 40 degré à l’intérieur. J’ai donc d’abord laissé le film refroidir dans ma cave. Il est écrit sur la boîte qu’il est même possible de le laisser au réfrigérateur (mais pas de le congeler…). Le développement a duré 40 minutes, ce n’est pas exactement instantané. Mais le résultat est là.
Jadis cet appareil me suivait partout. Il est déjà resté un bon nombre de fois dans une voiture en plein soleil ou même sur une plage au bord de la mer. Les photos prises avec les films originaux de Polaroid étaient développées en 5 minutes. Sans besoin de les placer à lombre. Et la qualité était tout de même meilleure. C’est bien dommage de ne plus pouvoir faire ça (pour le moment je ne suis pas très satisfait de la technologie ZINK de Polaroid). Certainement la faute à ces brevets.